Tout dépend de l’élément à corriger. L’organisme de certification peut accepter :
- Une preuve documentaire (par ex., un registre qui manquait)
- Une preuve photographique
Remarque importante : dans certains cas, la vérification des mesures correctives peut nécessiter une deuxième visite de l’exploitation. La décision d’effectuer une deuxième visite est à la discrétion de l’organisme de certification et dépend du résultat d’audit et des mesures correctives à mettre en œuvre. Dans le doute, l’exploitation devrait communiquer avec l’auditeur ou l’organisme de certification pour savoir quel genre de preuve elle doit leur soumettre.